Logo Quintesens

Fermez les yeux et imaginez un endroit qui regroupe des bactéries, des virus, des levures, des archées… donc plein de micro-organismes et que cet endroit soit beaucoup moins effrayant qu’il n'en a l’air, voire même plutôt positif et vecteur de bonne santé ?

Cet endroit existe vraiment et il demande à être aimé et chouchouté, bienvenue dans le microbiote !

Le microbiote, c’est quoi ?

Tout le monde en parle donc c’est l’occasion de comprendre un peu mieux en quoi il est important pour le fonctionnement de l’organisme.

Le microbiote c’est l’ensemble des micro-organismes qui sont regroupés et qui vivent dans un même environnement : dans notre bouche, sur notre peau, dans nos poumons, dans notre vagin (si vous êtes une femme bien sûr) … et aussi dans notre tube digestif.

Celui qui va nous intéresser plus précisément est le microbiote intestinal, un acteur majeur du système digestif (le microbiote colique plus exactement, la dernière partie de l’intestin) car c’est l’endroit qui regroupe le plus de micro-organismes (autant de bactéries que de cellules humaines et 100 fois plus de gènes que les cellules humaines n’en possèdent).

On l’appelait il y a quelques années : la « flore intestinale commensale », c’est vrai que c’est moins sympa que « Microbiote ».

Dans tous les cas, c’est sur cette flore que notre alimentation va avoir un impact direct et même indirect. En effet, on sait que la flore intestinale est établie dès la naissance avec notamment le mode de naissance (par la flore fécale et vaginale de la mère) et l’allaitement puis il devient mature vers l’âge de 2-3 ans. Il est unique à chaque individu comme les empreintes digitales mais sa composition va évoluer par la suite avec l’âge, les maladies… et surtout l’alimentation !

Pourquoi notre microbiote évolue dans le temps ?

Comme nous, les bactéries ont besoin de se nourrir. Dans notre intestin et plus particulièrement dans le côlon, elles trouvent un environnement propice, de la nourriture et, en échange, elles produisent des molécules intéressantes pour nous.

Donnez-leur à manger des prébiotiques (j’explique ça juste après, promis !) elles vous fabriqueront notamment des vitamines (K, vitamines du groupe B…), de la sérotonine (un neurotransmetteur), des acides gras à chaîne courte comme le butyrate. Celui-ci va nourrir nos cellules intestinales et participer à l’optimisation de l’axe intestin-cerveau c’est à dire à notre santé mentale au final.

Sans parler de son rôle clé dans le système immunitaire, de sa fonction de barrière et de détoxication de certaines molécules... Elles sont chouettes ces bactéries, on les nourrit et elles nous nourrissent en retour !

Quand tout cela se passe bien, le microbiote est équilibré – un microbiote équilibré favorise la santé digestive et mentale, c’est ce qu’on appelle l’eubiose. Le microbiote est résilient mais parfois il évolue vers un déséquilibre en termes de quantité d’espèces, de diversité, mais également un déséquilibre entre les bactéries protectrices et les bactéries dites pathogènes et surtout opportunistes (les méchantes en gros).

On va parler de déséquilibre qu’on appelle la dysbiose dont les causes peuvent être multiples : la prise d’antibiotiques de manière prolongée, certains médicaments, le stress, une perturbation des fonctions digestives (mastication, fonction de l’estomac, bile et enzymes digestives…) et surtout le mode d’alimentation.

Aucun aliment n’est mauvais en soi mais les excès de certains aliments, et donc par extension la pauvreté en aliments microbiote-friendly, vont impacter la qualité du microbiote.

En effet, une alimentation excessive en acides gras saturés, en protéines animales, en sucres raffinés, en produits ultra-transformés (produits très modifiés par rapport à leur matrice d’origine) et en alcool… Que l’on appelle la « Western diet » (C’est-à-dire l’alimentation occidentale) va induire une pauvreté en végétaux et donc en fibres alimentaires.

Je rappelle qu’il faut les nourrir nos petits habitants… Il faut leur fournir des fibres et donc des prébiotiques !

Les prébiotiques pour nourrir le microbiote qui nous le rend bien 

Je parle ici de “prébiotiques”, pas de “probiotiques”, c’est différent. Les probiotiques sont par définition des micro-organismes, les prébiotiques sont ce que mangent ces probiotiques. D’ailleurs le terme postbiotiques existe aussi, c’est ce que fabriquent les micro-organismes (j’en ai déjà parlé : vitamines, butyrate, sérotonine…). Ça fait beaucoup de « biotiques » tout ça mais c’est le milieu où la vie peut se développer donc c’est primordial.

Les prébiotiques sont en règle générale des fibres alimentaires : des molécules glucidiques composantes des végétaux que nous ingérons.

Il existe aussi d’autres prébiotiques comme les acides gras polyinsaturés dont les fameux oméga 3 et oméga 6 mais aussi les CLA (conjugated linoleic acid) qui sont des acides gras conjugués de l'acide linoléique. On va retrouver également les polyphénols qui sont des anti-oxydants présents dans les végétaux, la lignine (végétale mais non glucidique donc non considérée comme une fibre) … Et enfin et ce qui va nous intéresser dans un deuxième temps, le collagène, une protéine considérée comme prébiotique.

Toutes ces molécules vont, comme les fibres, participer au festin pour le microbiote.

Le bouillons Microbiote : Aliment microbiote friendly

30g de fibres par jour pour chouchouter notre microbiote 

Les fibres ne sont pas digérées par notre organisme, c’est bien fait tout ça ! Notre microbiote a donc un festin devant lui car lui peut les digérer.

L’Anses, l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation, de l'environnement et du travail, recommande une consommation de 30g de fibres par jour pour les adultes (25g pour les personnes âgées). Dans les faits, la population française apporte plutôt 10g de fibres par jour dans les assiettes, on est loin du festin promis à nos micro-organismes !

On va trouver ces fibres dans tous les aliments d’origine végétale : les céréales, les légumes secs (lentilles, haricots rouges, pois chiches…), les fruits et les légumes. Ce qui ne va pas dans le sens de l’alimentation ultra-transformée en plein essor actuellement.

Certains aliments sont plus riches en inuline, une fibre prébiotique adorée du microbiote que l’on va retrouver dans les oignons, l’ail, les bananes, les asperges, les poireaux, le topinambour, la chicorée notamment. 

Dans une alimentation équilibrée, ces aliments prébiotiques trouvent leur place facilement. « Mangez 5 fruits et légumes par jour » ça vous parle ? Et hop, des fibres dans l’assiette, même si c’est plus de légumes que de fruits, on comprend le message pour notre microbiote intestinal. Pensez aux céréales plutôt complètes voire semi-complètes que raffinées, ou encore aux alternatives sans gluten comme le quinoa ou le sarrasin, une poignée de graines oléagineuses par jour (noix, amandes, graines…), les féculents cuits puis refroidis donnant naissance à l’amidon résistant qui est aussi une fibre (pomme de terre et riz principalement) …

Fibre microbiote Quintesens

Des fibres quand on a des troubles digestifs ?

Ces fibres adorées du microbiote sont également fermentescibles. Ainsi elles peuvent poser quelques soucis aux personnes ayant un syndrome de l’intestin irritable, maladie touchant entre 11% et 13% de la population française.

En effet, fermentescible veut dire fermenté par le microbiote c’est-à-dire que celui-ci aime tellement les fibres qu’il va produire des gaz (c’est le principe de fermentation lactique) parfois en excès provoquant des ballonnements, douleurs abdominales et problèmes de transit aux personnes ayant généralement une hypersensibilité viscérale, caractéristique du syndrome de l’intestin irritable.

Il conviendra alors de se concentrer sur l’apport de fibres moins fermentescibles et en quantité adaptée, afin de préserver le confort digestif de chacun. Ne pas hésiter à faire appel à une diététicienne-nutritionniste spécialisée en troubles digestifs pour trouver un équilibre alimentaire et notamment un équilibre des fibres selon votre contexte.

Le bouillon d’os, un aliment Microbiote-Friendly 

Une autre solution intéressante pour nourrir le microbiote est le bouillon d’os. C’est une préparation alimentaire ancestrale à base d’os (de bœuf, poulet, porc ou autre) et de légumes (ail, oignon, carottes, céleri, poivron… avec un choix vers les légumes de saison), du vinaigre, des épices et parfois d’autres ingrédients.

Ces ingrédients sont cuits longuement (18h à 72h voire plus) et à basse température pour tirer le meilleur des nutriments de ces aliments. Il en résulte un concentré de nutriments (acides aminés, minéraux et vitamines) dans un liquide très digeste.

Le bouillon d’os ne contient pas de fibres même s’il est préparé à partir de légumes étant donné qu’il est filtré. Par contre, il est très riche en collagène qui est une protéine, c’est-à-dire un polymère de 3 acides aminés : la glycine, la proline et l’hydroxyproline.

Lors de la digestion du bouillon d’os dans notre organisme, le collagène est hydrolysé (c’est-à-dire « découpé ») en peptides de collagène, un plus petit polymère d’acides aminés ayant des propriétés prébiotiques et comme vu précédemment cela permet de nourrir le microbiote.

Le bouillon d’os contient également un autre acide aminé, la glutamine qui est l’un des carburants privilégiés des cellules intestinales, de quoi renforcer l’environnement préféré de notre microbiote. La glutamine est également aidante pour les personnes ayant le syndrome de l’intestin irritable du fait de son action bénéfique sur la paroi intestinale. Il s’intègre donc dans une démarche alimentation-santé, contribuant à la santé globale et au confort digestif.

Pour tirer tous les avantages du bouillon d’os dans une alimentation équilibrée, quelques cuillères à soupe par jour dans une soupe, purée, sauce, ragoût… Ou tout simplement dans un petit bol à boire, cela suffit également. Il se surgèle également, ce qui le rend pratique et facilement utilisable au quotidien.

Céline Bernard - Nutritionniste Diététicienne - https://www.chroniquesduventre.fr

Source : Peptides dérivés du collagène comme prébiotiques pour améliorer la santé intestinale / Baojing Ren, Kaiyan Yue ,Yu Hao Zhang ,Yu Fu  (2024)

Gamme Bouillon Quintesens

Améliorer son Axe Intestin-cerveau

L’intestin, c’est notre deuxième cerveau, pourquoi ? C’est simple, il contient beaucoup de neurones, plus de 100 millions (principalement dans l'intestin grêle et le côlon), autant que dans la moelle épinière, rien que ça et ils forment le système nerveux entérique. Le système digestif est donc le 2ème organe après le cerveau en termes de nombre de neurones. C'est un des maillons phares de notre santé globale.

On s’en doutait déjà avec toutes les expressions de notre langue « ça me reste sur l’estomac ! » ou « avoir la peur au ventre ! ».  Ces deux cerveaux vont donc communiquer, et dans les deux sens, encore faut-il que tout fonctionne bien pour optimiser cette communication et la transmission des signaux au cerveau.

Comment interagissent nos deux cerveaux ?

C’est un véritable périphérique qui relie nos deux cerveaux : la voie nerveuse et la voie humorale (par le sang) sont utilisées.

Tout d’abord au niveau nerveux, il y a un lien entre ce système nerveux entérique (du tube digestif) et le système nerveux central (du cerveau), ils fonctionnent de concert et forment de véritables réseaux denses dédiés à la digestion. C’est pour cela que juste en regardant un bon petit plat, on a déjà l’eau à la bouche par exemple.

C’est ce qu’on appelle la phase céphalique… Ça veut tout dire ! La digestion s’active, l’innervation joue alors un rôle déterminant pour l’activité motrice et sécrétrice du tube digestif. Cela soutient une activité neuronale constante entre les deux cerveaux. C’est grâce au nerf vague, nerf du système parasympathique, que la digestion se met en route.

Au niveau humoral, il y a une circulation d’hormones, de neurotransmetteurs, de messagers de l’immunité (les cytokines) et plusieurs autres molécules dans le sang, notamment fabriquées par notre microbiote intestinal (AGCC : acides gras à chaîne courte). Tout cela se fait sans que l’on s’en rende compte, la magie de notre physiologie opère…

Il y a quand même une police sur ce périphérique : la barrière intestinale et la barrière hémato-encéphalique pour le cerveau. Notre barrière intestinale est composée de 4 éléments : le microbiote (la flore intestinale), un mucus protecteur, des cellules jointes (entérocytes), le système immunitaire (le GALT : Gut Associated Lymphoid Tissue ).

En effet, c’est une porte d’entrée entre l’extérieur d’où arrivent nos aliments et l’intérieur de notre organisme. Le cerveau lui a besoin d’une protection supplémentaire avec la barrière hémato-encéphalique pour faire barrage aux indésirables qui circulent dans le sang. Le carré VIP (notre cerveau) est une vraie forteresse.

Intestin microbiote Quintesens

Et quand ça dysfonctionne…

De nombreuses études scientifiques ont montré que les troubles de l’humeur, le stress, l’anxiété et de nombreuses maladies neurologiques (la dépression, le trouble du spectre autistique, le trouble de l’attention, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer …) peuvent trouver leur origine dans le dysfonctionnement de l’axe intestin-cerveau.

En effet, le microbiote joue un rôle important grâce à ses bactéries bénéfiques qui régulent l’équilibre intestinal, d’ailleurs on devrait appeler l’axe microbiote-intestin-cerveau ! Par exemple, un déséquilibre du microbiote appelé dysbiose avec une prolifération d’espèces bactériennes qui libèrent leurs endotoxines de leurs membranes (les LPS : lipopolysaccharides) dans la lumière intestinale peut provoquer une endotoxémie responsable notamment de neuroinflammation. 

D’ailleurs, nombreuses sont les études cliniques lancées sur l’effet de la transplantation fécale (TMF) sur les pathologies citées plus haut. Il s’agit d’une sorte de greffe d’un microbiote sain à un patient dont le microbiote est altéré, dans un objectif thérapeutique.Le syndrome de l’intestin irritable, pathologie multifactorielle symbolisée par des troubles digestifs fonctionnels, est également appelé trouble de l’interaction intestin-cerveau. Plusieurs patients ayant cette pathologie ont également des troubles anxieux voire des dépressions. On voit bien ici le lien entre notre intestin et notre cerveau.

Aliments et Axe Intestin-cerveau ?

Tout ce qui va nourrir la barrière intestinale, va contribuer à améliorer cet axe intestin-cerveau. Donc ce qui va nourrir le microbiote, les cellules intestinales, le mucus et le système immunitaire : le GALT.

Dans un premier temps, il convient d’apporter assez de protéines qui sont composées d’acides aminés, car tout ce petit monde marche à la protéine donc autant amener la matière première ! Nos cellules immunitaires sont des protéines. La glutamine (un acide aminé) va nourrir les cellules intestinales et le mucus, composé notamment de glycoprotéines, encore des protéines.

Le microbiote, lui marche surtout aux prébiotiques : les fibres, mais aussi polyphénols, oméga 3… On va donc chercher à être des hôtes accueillants en privilégiant une alimentation diversifiée, riche en végétaux, légumineuses, oléagineux notamment.

Il va ainsi produire des molécules intéressantes dont le GABA (Acide gamma-aminobutyrique) qui est un neurotransmetteur ayant un effet anxiolytique par sa capacité à inhiber le système nerveux central. Son rôle est important également dans la stimulation du nerf vague.

On peut également amener ponctuellement des probiotiques avec l’alimentation pour réguler l’activité du microbiote et aider à rétablir un éventuel déséquilibre appelé dysbiose. Les aliments fermentés sont des bonnes sources de probiotiques (fromage, yaourt, légumes lactofermentés, kéfir, pain au levain…).  

Le bouillon d’os pour améliorer l’axe Intestin-cerveau

Le bouillon d’os est aux premières loges pour améliorer l’axe intestin-cerveau.

En effet, c’est tout d’abord une excellente source de protéines. Il contient notamment du collagène, une protéine qui va aussi servir de prébiotiques, la nourriture préférée du microbiote. Celui-ci va ainsi pouvoir sécréter des AGCC, acides gras à chaîne courte comme le butyrate qui va stimuler le nerf vague et donc la communication entre l’intestin et le cerveau.

La richesse du bouillon d’os en glutamine va permettre de nourrir les cellules intestinales et donc renforcer la barrière intestinale également.

La glutamine est aussi le précurseur du GABA, vu plus haut pour ses qualités anxiolytiques. Un beau cocktail de molécules nécessaires à nos deux cerveaux mais pas que : le bouillon d’os contient également du gingembre, une plante qui stimule la motricité du tube digestif, de quoi améliorer la vidange gastrique et donc la digestion haute.

Il contient également deux aliments pour aider à réguler la flore intestinale : le miso, une pâte fermentée à base de soja, donc un aliment fermenté contenant des probiotiques et du Shiitake, un champignon prébiotique qui va contribuer à l’équilibre du microbiote.

Enfin, au-delà de l’alimentation, c’est aussi l’ensemble de notre mode de vie qui influence directement l’axe intestin-cerveau.

Céline Bernard - Nutritionniste Diététicienne spécialisée dans les troubles digestifs.

Découvrez sont site : leschroniquesduventre

Bouillon Collagène Quintesens

Le bouillon d’os : un remède ancestral au service de la maternité

Autrefois incontournable dans les cuisines familiales, le bouillon d’os faisait partie des savoirs transmis de mère en fille. Présent dans les traditions culinaires du monde entier, il était utilisé comme remède naturel, réconfortant et fortifiant. Tombé un temps dans l’oubli avec l’essor de l’alimentation industrielle, il revient aujourd’hui sur le devant de la scène, porté par les recherches en nutrition et les pratiques de santé intégrative qui en redécouvrent les multiples bienfaits.

Le bouillon d’os bio Quintesens, concentré remarquable de nutriments essentiels, riche en gingembre, miso et galanga s’avère particulièrement précieux durant la grossesse et le post-partum. Riche en minéraux facilement assimilables, en collagène, en gélatine et en acides aminés, il accompagne les besoins accrus du corps de la femme à chaque étape de la maternité.

Pendant la grossesse, le corps est soumis à des transformations profondes : formation du placenta, croissance de l’utérus, développement des tissus fœtaux, ajustements hormonaux constants — autant de processus qui augmentent les besoins en protéines de structure, en collagène et en micronutriments.

Après la naissance, les besoins ne faiblissent pas : le corps doit cicatriser, retrouver ses équilibres, soutenir l’allaitement et répondre à une charge physique et émotionnelle intense. Dans cette période de transition, le bouillon d’os s’impose comme un soutien de choix : à la fois doux, nourrissant et profondément régénérant, il allie la sagesse des traditions au savoir contemporain pour accompagner chaleureusement la maternité.

👉 Astuce nutritionnelle complémentaire : pour soutenir le développement du cerveau de bébé et répondre à vos besoins spécifiques durant la grossesse, pensez également à intégrer l’huile Quintesens Maman, source précieuse d’oméga-3 et de DHA dans votre alimentation quotidienne.

Les nutriments clés du bouillon d’os pour accompagner la grossesse et le post-partum

La glycine

Durant la grossesse, les besoins en glycine augmentent considérablement, tant pour le développement du fœtus que pour l’adaptation du corps maternel. Le fœtus dépend fortement de cet acide aminé pour former ses tissus structuraux — peau, squelette, cordon ombilical — riches en collagène. En parallèle, la mère doit renforcer ses propres tissus, notamment l’utérus, la peau et les ligaments, afin de soutenir la croissance du bébé.

La glycine soutient également les fonctions hépatiques, essentielles à la gestion hormonale et à la détoxification, tout en jouant un rôle apaisant sur le système nerveux : elle contribue à réguler le stress et le sommeil, souvent mis à rude épreuve durant cette période.

En période post-partum, la glycine joue un rôle central dans la récupération maternelle. Elle favorise la réparation des tissus en contribuant à la cicatrisation des éventuelles lésions du périnée, de l’utérus ou de la paroi abdominale. Elle participe également à la restauration de la peau, en soutenant son élasticité et en aidant à atténuer vergetures et relâchement cutané. Sur le plan émotionnel, en tant que précurseur du GABA, la glycine contribue à apaiser l’anxiété, améliorer la qualité du sommeil et atténuer les épisodes de "baby blues". Enfin, elle soutient le système digestif et immunitaire, souvent fragilisé après l’accouchement, en aidant à rééquilibrer le microbiote et à réduire les inflammations intestinales.

La glutamine

Pendant la grossesse, le corps connaît de profondes adaptations, notamment au niveau du système immunitaire et digestif. Le système immunitaire est modulé afin de tolérer la présence du fœtus, un processus dans lequel la glutamine soutient activement les globules blancs. Par ailleurs, les fluctuations hormonales peuvent fragiliser la paroi intestinale. La glutamine aide à renforcer cette barrière, prévenant ainsi la perméabilité intestinale et limitant les risques d’inflammation et de troubles associés.

En période post-partum, la glutamine se révèle être un soutien précieux pour la récupération globale du corps. Cet acide aminé joue un rôle essentiel dans la réparation des tissus, en particulier au niveau intestinal, souvent fragilisé par le stress de l’accouchement, les variations hormonales et les perturbations du microbiote.

En renforçant la barrière intestinale et en limitant la perméabilité, la glutamine contribue à réduire l’inflammation systémique et à soutenir le système immunitaire. Elle intervient également dans la gestion du stress et favorise la régénération des cellules intestinales, participant activement au processus de guérison et de convalescence du corps en post-natal. Intégrée naturellement dans le bouillon d’os Quintesens, elle devient un atout clé pour accompagner la jeune mère dans cette phase de reconstruction physique et émotionnelle.

La proline

La proline, un acide aminé abondant dans le bouillon d’os, joue un rôle fondamental durant la grossesse : elle participe à la formation du collagène fœtal, indispensable à la construction des tissus conjonctifs, de la peau, des os et du cartilage du bébé, tout en renforçant l’élasticité et la solidité des tissus maternels, notamment l’utérus et le périnée — une préparation essentielle en vue de l’accouchement.

En post-partum, la proline joue un rôle fondamental dans les mécanismes de régénération et de réparation du corps. En stimulant la production de collagène, cet acide aminé soutient la reconstruction des tissus du périnée, des muscles abdominaux et favorise la cicatrisation, notamment après une épisiotomie ou une césarienne.

Elle participe également à la revitalisation de la peau, des cheveux et des ongles, souvent fragilisés par les bouleversements hormonaux en période post-natale. Enfin, la proline contribue à la santé articulaire, particulièrement utile dans cette phase où les ligaments, assouplis par la relaxine durant la grossesse, nécessitent un soutien pour retrouver leur stabilité.

En conclusion

En somme, le bouillon d’os s’impose comme un allié incontournable tout au long de la maternité : réconfortant et facile à digérer durant le premier trimestre, il apaise les troubles digestifs tout en soutenant le microbiote, véritable socle de la santé maternelle et fœtale.

Après l’accouchement, il devient un reconstituant naturel d’une grande richesse — en collagène, minéraux et calcium — permettant au corps de se réparer en profondeur, tout en offrant à la jeune mère l’énergie et les ressources nécessaires pour sa récupération physique et émotionnelle.

👉 Pour accompagner votre maternité avec des solutions naturelles et ciblées, explorez notre bouillon d’os Quintesens et notre huile Quintesens Maman, spécialement formulée pour répondre aux besoins nutritionnels des futures et jeunes mamans.

Candice Levy, naturopathe, périnatale et pédiatrique
22 mai 2025
www.naturopediatrie.com
@candicenaturopediatrie

La fermentation en quelques mots

La fermentation est un processus de transformation et de conservation naturel des aliments réalisé par des micro-organismes. Cette technique est utilisée depuis des millénaires. Elle est apparue à la même période que le salage et le séchage, lorsque stérilisation, pasteurisation, réfrigération et congélation n’existaient pas.

La fermentation se réalise dans un milieu privé d’oxygène, généralement salé ou sucré et acide. La colonisation du milieu par des micro-organismes spécifiques et non-nocifs pour l’Homme permet de lutter contre la colonisation de micro-organismes potentiellement pathogènes pour l’Homme, et aboutit à la transformation de l’aliment.

On distingue plusieurs types de fermentation : 

Ces trois fermentations sont omniprésentes dans le monde du vivant. Celle qui nous intéresse aujourd’hui est la fermentation lactique, aussi appelée lacto-fermentation, c'est celle qui est utilisée pour la production de nos Incroyables sauces pimentées.

La lacto-fermentation comment ça marche ?

La lacto-fermentation est majoritairement réalisée par des bactéries lactiques telles que les lactobacilles. Les bactéries lactiques sont naturellement présentes dans l’environnement et sur la peau des piments, nous ne faisons que stimuler et faire croître les bactéries dans un environnement propice (aliment, sel, eau, milieu légèrement acide). Néanmoins, il est possible d’ajouter du ferment ou le liquide d’une ancienne lacto-fermentation pour aider à cette nouvelle fermentation.

Elle a lieu dans un milieu privé d’oxygène, que l’on peut créer de deux manières :

Le milieu est également salé et acide dans le cas de nos sauces pimentées. L’acidité et le sel empêchent le développement des moisissures et des levures afin que les bactéries lactiques puissent coloniser le milieu. Dans le cas contraire, cela donnerait lieu à une fermentation alcoolique plutôt que lactique !

Les bactéries lactiques se nourrissent des glucides présents dans les aliments et libèrent en échange de l’acide lactique dans le milieu. Le milieu devient alors de plus en plus acide grâce à l’acide lactique libéré, ce qui lui confère son goût et son odeur, jusqu’à arriver à un seuil (pH à peu près égal à 4) où l’acidité inhibe la croissance des bactéries lactiques. C’est à ce moment-là que le produit se stabilise et peut se conserver sur plusieurs mois !

La vitesse de fermentation dépend de plusieurs paramètres :

Quant au temps de fermentation, il peut aller de quelques jours à plusieurs semaines, pour une durée de conservation de produit sur plusieurs mois. L’idéal est un temps de fermentation allant de 8 à 15 jours selon ce que vous recherchez : un goût légèrement acidulé à 8 jours ou des saveurs et une acidité plus prononcées à 15 ou plus. À vous de tester !

Bonne ou mauvaise fermentation ?

Les signes d’une bonne lacto-fermentation sont : un goût acide et parfois pétillant, une odeur légèrement acide, une saumure parfois trouble mais gardant un bon aspect, sans moisissure.

À contrario, les signes d’une mauvaise lacto-fermentation sont : la présence de moisissures à la surface et une odeur de pourriture.

bonne-mauvaise-lactofermentation

La lacto-fermentation au coeur de la fabrication de nos Incroyables sauces piments 🌶

Nos Incroyables sauces piments (l’Incroyable piment rouge, l’Incroyable piment vert et l’Incroyable piment jaune) sont fabriquées chez notre partenaire à Marseille. Elles sont lacto-fermentées ce qui nous permet d'éviter l'utilisation d'additifs !

Zoom sur la fabrication des sauces du champs à l'assiette

Nous avons sélectionné des piments Bio Français cultivés en Provence chez Jean-Yves, notre producteur. Ils sont ensuite transportés à Marseille pour être lavés, équeutés, broyés puis lacto-fermentés pendant plusieurs semaines avant d’être associés aux ingrédients bruts et bio sélectionnés par notre Chef !

Quels sont les avantages de la lacto-fermentation ?

La lacto-fermentation compte de nombreux avantages ! Premièrement, c’est une méthode facile à faire chez soi, elle est écologique puisqu'elle évite la cuisson, elle permet d'éviter le gaspillage alimentaire puisqu'elle permet de conserver longtemps les aliments. Cette technique évite l'ajout d'additif, le top pour notre santé.

La lacto-fermentation ne nécessite pas d’intervention de la chaîne du froid, elle est réalisable à petite et grande échelle, autant dans les industries agroalimentaires que dans les fabriques artisanales.

La transformation naturelle de l’aliment peut apporter une infinité de textures, d'arômes, de saveurs et de micro-organismes différents, ce qui laisse place à l’imagination et l’innovation !

Vous pouvez donc facilement mettre en œuvre ce procédé à la maison, il vous suffit d’avoir sous la main de l’eau, du sel (ou du sucre) et un bocal propre qui se ferme pour débuter. Cela permet de conserver les aliments autrement qu’au congélateur ou en conserve, ce qui implique également moins de déchets !

Quels sont les bienfaits de la lacto-fermentation sur votre santé ?

La lacto-fermentation favorise la synthèse de micronutriments comme les vitamines, minéraux et polyphénols qui sont susceptibles d'avoir une action anti-inflammatoire et anti-oxydante sur votre organisme.

Elle favorise également la dégradation de certains composés comme les glucides fermentescibles (FODMAP), le lactose et l’acide phytique qui sont susceptibles de provoquer des troubles chez certaines personnes. La dégradation de ces composés facilite la digestion de l’aliment, l’assimilation des nutriments et minimise certaines sensibilités ou allergies. Les produits fermentés sont donc plus digestes ! 

Différentes études sont menées pour trouver d'autres effets bénéfiques sur la santé mais les résultats ne sont pas encore prononcés pour le moment.

Et si vous le faisiez chez vous ?

D’autres produits alimentaires sont élaborés grâce à la lacto-fermentation comme la choucroute, le kimchi, les cornichons, le saucisson, le yaourt et le fromage. Cette technique est reproductible chez vous et applicable à beaucoup d’aliments solides ou liquides dont les fruits et légumes (ex : pickles ou nos sauces pimentées), le lait… Alors, pourquoi ne pas vous y mettre ? Pour vous aider, vous pouvez participer à des formations en ligne, on vous donne aussi ici l'une de nos recettes de pickles de légumes express.

Quelques précautions si vous le faites maison !

En cas de processus de lacto-fermentation mal réalisé, quelques effets négatifs sont notables comme le risque de contamination aux micro-organismes pathogènes : E.coli, Listeria, Salmonella, Clostridium.. Plusieurs paramètres sont à prendre en compte (taux d’alcool, taux d'acidité, taux de sel, composition microbiologique et synthèse de molécules néfastes) afin d’éviter les potentiels effets indésirables des produits fermentés.

La consommation de produits fermentés est également à contrôler chez les femmes enceintes et allaitantes. Les taux de sel des produits fermentés peuvent être élevés suite à l'ajout de sel en début de fermentation, on veille donc à les consommer avec modération ou à les utiliser comme alternative pour saler ses plats !

Article rédigé par Lucie Poupineau, nutritionniste




Sources :

1. Samuel D. Investigation of Ancient Egyptian Baking and Brewing Methods by Correlative Microscopy. Science. 26 juill 1996;273(5274):488-90.

2. Savary-Auzeloux I, Rul F. Intérêt des aliments fermentés pour la santé. Pratiques en Nutrition : santé et alimentation. 2021;17(68):812.

3. EFSA | Science, sécurité des aliments, durabilité [Internet]. 2021 [cité 12 avr 2023]. Disponible sur : https://www.efsa.europa.eu/fr.

4. Yuka JD. Les aliments lacto-fermentés : ces bactéries qui nous veulent du bien [Internet]. Yuka. 2020 [cité 12 avr 2023]. Disponible sur: https://yuka.io/aliments-lacto-fermentes/.

5. Dimidi E, Cox SR, Rossi M, Whelan K. Fermented Foods: Definitions and Characteristics, Impact on the Gut Microbiota and Effects on Gastrointestinal Health and Disease. Nutrients. 5 août 2019;11(8):1806.

6. Oliphant K, Allen-Vercoe E. Macronutrient metabolism by the human gut microbiome: major fermentation by-products and their impact on host health. Microbiome. 13 juin 2019;7:91.

7. Shiferaw Terefe N, Augustin MA. Fermentation for tailoring the technological and health related functionality of food products. Critical Reviews in Food Science and Nutrition. 24 sept 2020;60(17):2887-913.

8. Aslam H, Green J, Jacka FN, Collier F, Berk M, Pasco J, et al. Fermented foods, the gut and mental health: a mechanistic overview with implications for depression and anxiety. Nutr Neurosci. sept 2020;23(9):659-71.

9. Kok CR, Hutkins R. Yogurt and other fermented foods as sources of health-promoting bacteria. Nutrition Reviews. 1 déc 2018;76(Supplement_1):4-15.

Vous faites partie de ceux qui ont besoin de leur café pour bien commencer la journée ? Mais alors, que faire du marc de café qui reste dans la cafetière ? On vous donne une liste non-exhaustive d'astuces pour la maison, le jardin, les cheveux...


Un engrais pour de jolies plantes

Placez un peu de marc de café au pied de vos plantes d’intérieur ou de jardin, il servira d’engrais grâce à sa richesse en potassium, phosphore et azote.

Bon pour le compost

N’hésitez pas à le jeter dans votre compost, c’est un bon activateur !

Le marc de café, un répulsif naturel

C'est une véritable barrière contre les fourmis, les pucerons, les limaces… Il peut aussi éloigner les chats de vos jolies fleurs !

Adieu les mauvaises odeurs

Remplissez un petit récipient ouvert de marc puis placez-le dans le frigo, dans un placard, dans un meuble… pour absorber les odeurs tenaces.

Du marc de café pour les tuyauteries

Mélangé à de l’eau chaude, il entretient les tuyauteries, les décrasse et atténue les mauvaises odeurs. Ce n'est pas une méthode agressive, elle est donc à utiliser en entretien régulier plutôt qu'en entretien intensif.

Un gommage tout doux pour le corps

Riche en vitamines et en antioxydants, le marc de café est un exfoliant doux et naturel. Mélangez dans un bol 2 cuillères à soupe de marc de café avec 1 cuillère à soupe d’huile de coco que vous aurez préalablement fondu. Et pour des vertus drainantes et détoxifiantes, vous pouvez ajouter 4 gouttes d’huile essentielle de pamplemousse à votre mélange.

Un masque capillaire au marc de café

Utilisé en masque, il apaise le cuir chevelu et favorise la pousse ! Dans un bol, mélangez 1 cuillère à soupe de marc de café avec 1 cuillère à soupe de miel et 1 cuillère à soupe d’huile végétale (pour nous, c’est l’argan !). Appliquez le masque après le shampoing, laissez agir 30 minutes puis rincez. A vous les cheveux brillants !

Ma Première Valise,  c’est avant tout le premier concept de valises maternité qui accompagne les futurs parents dans la préparation de la valise maternité de leur bébé, avec une collection 100% coton BIO, pour un départ serein à la maternité. Dans une démarche éthique, l’enseigne distribue aussi plus de 120 000 coffrets maternité BIO & éco-responsables, chaque année, dans plus de 30 maternités et plus de 500 cabinets de sage-femmes libérables à travers la France.

Ami et partenaire de confiance depuis plusieurs années, nous partageons les mêmes valeurs autour de l’éco-responsabilité et souhaitons tous deux sensibiliser les jeunes et futurs parents à une consommation plus éthique et intelligente.  

Soucieuse de rendre la vie plus facile aux futurs et jeunes parents, Ma Première Valise, c’est également 100% des listes maternité de France répertoriées sur son site internet, à imprimer en un clic !

En effet, les maternités de France fournissent aux futures mamans une liste complète pour composer la valise de naissance de leur bébé. Cette liste diffère selon les établissements de santé. Dans une démarche d’accompagner les futurs parents, Ma Première Valise a pris le soin de rassembler les listes complètes de chaque maternité en France, afin de réaliser une liste « type ».

Pour la salle de naissance : 

Nous vous suggérons également de prévoir une brassière en laine avec une fermeture sur le devant composée de 15% de laine et de 85% de coton (15% de laine suffisent à maintenir la température corporelle de votre bébé à la naissance). 

Pour le séjour à la maternité : 

Conseils de mamans : pour changer votre bébé en douceur, préférez des vêtements avec des boutons pressions à l’entrejambe et une ouverture cache-cœur. Aussi, nous vous recommandons des vêtements avec moufles anti-griffures intégrées pour protéger votre bébé des égratignures. Enfin, privilégiez des vêtements qui ne comportent pas d’étiquettes pour ne pas gratter la peau de votre bébé. 

Que doit contenir le trousseau de toilette de bébé ? 

Une trousse de toilette contenant : 

Petit conseil : n’hésitez pas à transvaser le contenu d’un produit de soin dans un flacon à pompe pour plus de simplicité ! 

À la sortie de la maternité : 

Ma Première Valise a pris le soin de réaliser des kits maternité prêts à l’emploi pour un départ serein à la maternité.

Ma Première Valise vous accompagne également dans la préparation de la valise maternité pour maman et papa. N'hésitez pas à consulter notre article à ce sujet "Et les indispensables pour maman & papa ?" 😉

Et voilà ! Vous êtes fin prêts pour accueillir bébé en toute sérénité. Encore un peu de patience, il sera bientôt dans vos bras ! 😊

valise maternité quintesens aide bébé accouchement maternité

Depuis quelque temps, nous entendons beaucoup parler des algues dans l’alimentation ! 

Les algues alimentaires, aussi appelées “légumes de la mer”, sont traditionnellement consommées en Asie et possèdent d’innombrables bienfaits encore bien méconnus…

Découvrez 5 algues et leurs bienfaits !

Le nori

Elles sont un concentré de nutriments! Celles-ci contiennent près de 30% de protéines de plus que la viande et près de 10 fois plus de calcium que le lait. 

C’est également une excellente source en vitamines A, C, E et B. Ainsi que de cuivre, de fer, de manganèse, de zinc ou d’iode !

Aussi, elle est idéale pour faciliter la digestion grâce à sa teneur en fibres.

Les bienfaits des algues nori kombu spiruline nori laitue de mer quintesens

Le kombu

Elle est particulièrement riche en calcium et en magnésium, potassium et en sodium. Et elle a également un apport important en vitamines A, B1, B12, C, E, F, K et PP. 

Les bienfaits des algues nori kombu spiruline nori laitue de mer quintesens

Le wakamé

Elle est aussi riche en protéines que les œufs ! Mais elle est aussi pleine de vitamines A, B et C, de calcium, de potassium et de magnésium. Quant à son taux de fer, il est jusqu’à 4 fois plus élevé que dans les épinards !

Les bienfaits des algues nori kombu spiruline nori laitue de mer quintesens

La laitue de mer

Elle est jusqu’à 8 fois plus riche en vitamine C que l’orange et contient 12 fois plus de fer que les lentilles ! Elle est également une excellente source de calcium, de magnésium et de fer. Permettant ainsi de renforcer le système immunitaire.

Les bienfaits des algues nori kombu spiruline nori laitue de mer quintesens

La spiruline

Un véritable condensé de vitamines ! Elle contient beaucoup d’acides aminés, qui est une source essentielle pour nos muscles ! 

Elle est riche en provitamine A, une molécule qui peut être convertie en vitamine A. 

Mais c’est surtout une excellente source de fer et de protéine, la force principale de cette algue est sa teneur élevée en protéines : 60 à 70% 

Les bienfaits des algues nori kombu spiruline nori laitue de mer quintesens

Une bonne raison pour en ajouter à son alimentation ! 😋

Attention, n’hésitez pas à consulter votre naturopathe en cas de doute. Les algues sont déconseillées aux personnes prenant des anti-coagullants, ou suivant un régime hyposodé par exemple.

Connaissez-vous le maté, cette célèbre boisson d’Amérique du Sud particulièrement appréciée en Argentine ? Vous souhaitez découvrir cette boisson, connaître son histoire, maîtriser sa préparation, tout savoir sur ses propriétés et vertus ?

Voici un b. a.-ba, qui vous donnera peut-être envie d'inclure cette boisson hors du commun dans votre routine quotidienne.

Mais avant tout... qu'est-ce que le maté ?

Le maté est aux Argentins ce que le thé est aux Anglais, autant vous dire qu’on ne plaisante pas avec ! Il s’agit d’une véritable boisson traditionnelle qui se boit en Argentine, mais également dans une grande partie de l’Amérique du Sud (Uruguay, Paraguay et une partie du Brésil).

Très souvent appelée Yerba Mate ou thé des jésuites, cette boisson est consommée en infusion et se boit dans une calebasse (tasse en calebasse, en bois ou encore en verre) à l’aide d’une bombilla, une sorte de paille métallique, qui rend sa consommation vraiment unique.

Elle est élaborée en utilisant les feuilles et les fines tiges de l’Ilex paraguariensis, un arbuste qui nécessite un climat humide voire très humide, et des températures comprises entre 20°C et 30°C. C’est pour cette raison que la quasi-totalité de la production mondiale se fait en Argentine, au Paraguay et au Brésil, dans la région du Haut-Paranà qui bénéficie d’un climat subtropical humide et chaud, mais également des caractéristiques géologiques favorables grâce notamment à une terre riche en fer.

yerba maté bienfaits et histoire quintesens

Un peu d'histoire...

C’est en Argentine que cette boisson est la plus consommée, à tel point qu'elle est devenue un élément essentiel des coutumes locales.

Boire du maté n'est pas seulement une habitude sociale, c'est une philosophie qui est profondément ancrée dans la culture populaire Argentine.

Tout le folklore autour du maté s'inspire des légendes, des poèmes, des chansons, de la littérature et de l’histoire albiceleste. Boire un maté c’est perpétuer cette culture et ainsi trouver une connexion entre les générations et les époques.

Cette boisson est un véritable héritage de la culture Guarani, peuple indigène amérindien des régions amazoniennes du Brésil, d'Argentine, de Bolivie, de l'Uruguay et du Paraguay.

Le mot « maté » vient du mot Guarani « Caa-mati » signifiant littéralement « herbe à calebasse ». Au sein de cette culture le maté a longtemps occupé une place primordiale vis-à-vis de son rôle social fondamental, lequel permettait à la tribu de se souder lors de ses veillées. En effet, les feuilles du maté représentaient un pilier dans leur alimentation, notamment lorsque ces derniers partaient pendant de longues marches de plusieurs jours.

Dans la culture Guarani, le maté était l’opportunité de créer un lien social primordial, qui permettait à chacun de se réunir en famille ou entre amis, et ainsi de rencontrer de nouvelles personnes.

Même si la colonisation espagnole a mis au jour cette boisson, il faut attendre l’apparition des jésuites dans cette région pour que le maté soit définitivement démocratisé. Ces derniers, arrivés au cours des XVIIe et XVIIIe siècles pour organiser l'évangélisation des Indiens, ont en effet largement participé au développement des cultures de maté dans le sud de l’Amérique Latine. Malheureusement, les secrets des procédés de mise en culture de la plante ont disparu en même temps que leur disparition. Il faudra attendre le début du 20ème siècle pour voir apparaître à nouveau une culture du maté similaire à celle que nous connaissons de nos jours.

Comment préparer son maté et comment le boire ?

Pour boire son maté, il suffit d'infuser une dose de feuilles séchées de yerba mate dans de l'eau bouillante pendant quelques minutes, puis de filtrer et enfin de le déguster à l’image du thé ou de la tisane.

Rien de plus classique me direz-vous ? Oui, à l’exception que le maté n’est pas une boisson classique et que l’utilisation de certains accessoires sont indispensables pour une dégustation traditionnelle en bonne et due forme.

Pour boire un véritable maté il faut utiliser un récipient spécifique, la calebasse comme évoqué précédemment, et une paille filtrante métallique, la bombilla. Cette dernière occupe le rôle de boule à thé grâce à son système de filtre qui empêche les feuilles de passer. Plusieurs systèmes de filtration existent mais le plus répandu est le système à ressort. Un petit ressort est apposé à l’extrémité immergée de la paille et le tour est joué !

Mais revenons-en à la préparation traditionnelle du maté. Pour ce faire, remplissez votre calebasse de yerba mate au ¾, inclinez votre calebasse pour pouvoir insérez la bombilla, puis verser l’eau chaude (maximum 75°C) le long de la bombilla en évitant de “noyer” toutes les feuilles, ceci permettra une consommation longue durée. En effet, vous pouvez facilement tenir une journée entière avec la même tasse (la yerba maté perd très peu de son goût et de ses propriétés au cours des infusions consécutives).

yerba maté bienfaits et histoire quintesens
yerba maté bienfaits et histoire quintesens

Propriétés du maté

Mais outre le rituel, il faut également souligner que le maté possède de nombreuses propriétés bénéfiques.

En effet, en plus d'être une boisson stimulante naturelle au même titre que le café ou le thé, le maté contient également du magnésium, du potassium, sodium, vitamines A, B1, B2, C, des acides aminés et des sels minéraux essentiels. Sa matéine, substance proche de la caféine dont il est riche, lui confère son pouvoir énergisant sans les effets secondaires du café, à savoir les maux de ventre et l’acidité que l’on peut parfois rencontrer. Il stimule le système nerveux central et favorise la concentration de manière évolutive et constante contrairement au café qui agit plus en “pic” (le fameux “caféine rush”).

Le maté est également utilisé comme détoxifiant : ses propriétés diurétiques permettent le drainage des systèmes circulatoire et rénal, en plus d'apporter une excellente complémentation alimentaire pour l'organisme, il favorise l'équilibre métabolique.

Où acheter votre maté ?

Si toutes ces informations vous ont donné envie d’essayer le maté, voici quelques indications pour en trouver dans le commerce. Le maté n'est pas encore très répandu en France. Il est donc assez difficile d’en trouver dans les grandes surfaces ! Mais cela ne veut pas dire qu'il est difficile de s'en procurer. Vous pouvez le trouver facilement chez les herboristes et dans les commerces équitables (où vous serez assuré de trouver un produit excellent et bio). Sinon vous pouvez également vous en procurer via le site de https://yerbamaterana.com/ qui propose une multitude de yerba maté 100% naturelles !

Le Coronavirus est au cœur de tous les sujets… 

Après n’importe quelle maladie infectieuse, la fatigue est souvent fréquente. Pour ce qui est de la Covid-19, elle peut avoir touché tous les systèmes de l’organisme (nerveux, respiratoire, musculaire…) impliquant alors une fatigue beaucoup plus intense pouvant durer plusieurs mois. Il peut être alors difficile de s’en remettre pour certains.

Mais retrouver santé, énergie et vitalité après, c’est possible ! 

Manon Fougerouse, praticienne en médecine chinoise, nous dévoile ses conseils pour se remettre d’aplomb.

Buvez !

Il est important de boire beaucoup d’eau pour être parfaitement hydraté. Lorsque vous êtes enrhumé, cela permettra de fluidifier et d'évacuer les mucus en provenance du nez et de la gorge d'autant plus si vous êtes fiévreux. Aussi, il ne faut pas attendre d’avoir soif pour boire car cela signifie que vous êtes en déshydratation.  

Misez sur les infusions telles que :

Artemisia annua

La vitamine C

Faire une cure de vitamine C à raison de 1g pendant au moins 3 jours puis 500mg minimum.

C’est un antioxydant hydrosoluble efficace, doté de propriétés anti-inflammatoires et qui soutient le système immunitaire. 

Le zinc

Un oligo élément auquel on ne pense pas forcément, mais qui est réputé pour ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. Il permet d'améliorer la fonction immunitaire en stimulant la production des lymphocytes T , et inhibe la réplication virale, ce qui évite la multiplication du virus dans l’organisme. Une dose de 15mg à 30mg par jour est conseillé.

La vitamine D3 (cholécalciférol)

Il s’agit de la forme que notre organisme fabrique grâce aux rayons du soleil, elle est produite par les animaux mais elle peut être aussi d’origine végétale grâce au lichen qui est une plante hybride provenant de l’association d’un champignon et d’une algue.

Elle a des propriétés immunostimulantes et anti-inflammatoires. Une méta-analyse a démontré que celle-ci agirait comme un protecteur contre les infections respiratoires aiguës !

Il est recommandé de prendre 2000UI/jour jusqu'à rétablissement et de préférence liquide.

L'acupression

L’acupression a de nombreux bienfaits, ici le point 36E qui se situe en dessous de la rotule sur le côté extérieur de la jambe permet de renforcer le Yang du corps en pressant puis tapotant 1 fois par jour pendant 5 minutes.

point-36e-medecine-chinoise-acupression-covid-19-1
Point 36E

Les Oméga-3 et DHA

Il est important de couvrir vos besoins journaliers en Oméga-3 et DHA car ils sont indispensables pour votre immunité. Ainsi, en consommant nos huiles santé, à raison d’1 cuillère à soupe par repas, vous bénéficierez des apports nécessaires.

Retrouvez toute notre gamme d’huile juste ici.

Les huiles Future maman, Bébé, Enfant, Adulte et 50 ans et plus
Les huiles Future maman, Bébé, Enfant, Adulte et 50 ans et plus

Rejoignez la révolution

Nous vous partageons régulièrement nos recettes et actus engagées !
chevron-downcross-circle linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram